×
العربية english francais русский Deutsch فارسى اندونيسي اردو

نموذج طلب الفتوى

لم تنقل الارقام بشكل صحيح

/ / Dire que les gens du livre sont nos frères.

مشاركة هذه الفقرة Facebook Twitter AddThis

Dire que les gens du livre sont nos frères. قولنا لأهل الكتاب: إخواننا

تاريخ النشر:الأربعاء 02 جمادى الثانية 1435 هـ - الاثنين 27 أكتوبر 2014 م | المشاهدات:2912

Dire que les gens du livre sont nos frères.

قولنا لأهل الكتاب: إخواننا

الجواب

La louange est à Allah, que la prière, la paix et la bénédiction d’Allah soit sur Son Prophète, ainsi que sur sa famille et ses Compagnons.

Ceci étant dit,

En réponse à ta question nous disons avec l’aide d’Allah :

À l’origine, la fraternité est ce lien qui t’unit à une personne par la naissance, puis l’usage a voulu que le terme soit utilisé pour les personnes liées par la tribu, le corps de métier, la religion, l’attitude, l’amitié ou par d’autres notions ou d’autres affinités. Mais comme la fraternité religieuse est le plus fort de tous ces liens, Allah (U)l’a limitée aux croyants et en a exclu tout autre.

Allah (U)a dit :

 

{Les croyants ne sont que des frères. Établissez la concorde entre vos frères, et craignez Allah, afin qu’on vous fasse miséricorde.}Sourate Al-Hujurât, verset 10.

 

L’imam Ash-Shâficî a dit dans son livre intitulé Al-‘Umm : « Et cette fraternité n’est affirmée que pour les croyants, Allah (U)a dit :

 

{Mais s’ils se repentent, accomplissent la prière (salât) et acquittent l’aumône légale (zakât), ils deviendront vos frères en religion. Nous exposons intelligiblement les versets pour des gens qui savent.}Sourate At-Tawbah, verset 11.

Cheikh Al-Islam Ibn Taymiyyah a dit dans son explication du livre Al-cUmdah :

« Allah (U)a donc lié la fraternité en religion avec le fait de se repentir du polythéisme, d’accomplir la prière et de donner l’aumône légale. Et ce qui est lié à une condition s’annule si la condition n’est pas remplie, donc celui qui n’accomplit pas cela n’est pas un frère en religion et celui qui n’est pas un frère en religion est un mécréant. »

Quant à ce qui est lié à la fraternité avec un non-musulman, comme dans Sa parole (U) : {Et (Nous avons envoyé) aux cÂd, leur frère Hûd}, mais aussi : {Et (Nous avons envoyé) aux Thamûd, leur frère Sâlih}, ou encore : {Et (Nous avons envoyé) aux Madyan, leur frère Shucayb} et tout ce qui est semblable à cela, c’est soit une fraternité généalogique ou qui relève de la causalité. Elle figure sous un aspect informatif, et non pas pour établir une règle comme c’est le cas de la fraternité religieuse, autour de laquelle Allah (U)et Son Messager (r)ont défini des règles et des droits, comme Allah (U)le dit :

{Les croyants ne sont que des frères. Établissez la concorde entre vos frères, et craignez Allah, afin qu’on vous fasse miséricorde.}Sourate Al-Hujurât, verset 10.

Ou comme cela est rapporté par Al-Bukhârî (n° 6591) et Muslim (n° 2568), d’après cAbd Allah Ibn cUmar (ب) qui cite le Prophète (r) :

« Le musulman est le frère du musulman, il ne se montre pas injuste à son égard et il ne le livre pas [à ses ennemis]. Allah viendra en aide à celui qui vient en aide à son frère. » Ainsi que des textes semblables.

Donc, mon avis est qu’il n’est pas possible d’utiliser le terme « frère » à l’égard des mécréants, car Allah (U)a rompu ce lien entre les croyants et les mécréants. Mais aussi parce que cette utilisation comprend une feinte qui conduit à une déficience des règles, à un mélange des droits et à un affaiblissement du lien de fraternité religieuse.

Alors que si l’on précise que la fraternité dont on parle est une fraternité généalogique ou qui relève de la causalité et que cela apparaisse clairement sans ambigüité, comme cela est le cas des versets [cités précédemment], à ce moment-là il n’y a pas de mal à l’utiliser et ce afin de la distinguer de la fraternité religieuse, avec ce que cela engendre comme droits et devoirs. C’est le cas par exemple, lorsque ce terme est employé par certaines personnes, avec la seule intention d’interpeller une autre personne ; dans tous les cas il faut faire preuve de précaution dans ce qui peut prêter à confusion.

En revanche, utiliser le terme « frères » lorsque l’on parle des Juifs et des Chrétiens, entre autres, en sous-entendant la fraternité en humanité, il n’y a pas un connaisseur de la législation [islamique], ni une personne qui comprend le sens des mots, qui doute sur le fait que ceci ne soit pas permis. La législation monothéiste n’a pas donné de considération particulière à ce lien, alors qu’il existait durant la période de législation, qui s’adressait aussi bien au musulman qu’au mécréant en disant : « Ô vous les gens ! Ô fils d’Adam ! ».

De même, la personne peut chercher autant qu’elle le désire dans les écrits de l’Islam et ses livres, sans distinction de domaine ou de thème, comme l’exégèse (tafsîr), le hadith, la jurisprudence (fiqh) etc. Il ne fait aucun doute qu’elle ne trouvera pas une seule parole provenant d’un seul savant de la religion ou d’un seul de ces imams, qu’elle pourra utiliser pour prouver la permission d’utiliser le terme « frère » en parlant des mécréants, en s’appuyant sur la fraternité en humanité.

De plus, ce qui indique l’interdiction faite aux musulmans d’appeler les mécréants « leurs frères », c’est que cela conduirait à mettre à un même niveau des personnes qu’Allah (U)a différenciées, comme dans Sa parole :

{Traiterons-Nous ceux qui croient et accomplissent les bonnes œuvres comme ceux qui commettent du désordre sur terre ? Ou traiterons-Nous les pieux comme les pervers ?}Sourate Sâd, verset 28.

Ou encore :

{Ceux qui commettent des mauvaises actions comptent-ils que Nous allons les traiter comme ceux qui croient et accomplissent les bonnes œuvres, dans leur vie et dans leur mort ? Comme ils jugent mal !}Sourate Al-Jâthiyyah, verset 21.

Enfin ce qui confirme l’interdiction faite aux musulmans d’appeler les mécréants « leurs frères », c’est le fait que les prêcheurs qui appellent à la perversion et au mal, ont fait de cet appel à nommer les mécréants « nos frères en humanité » un moyen de minimiser la gravité de la mécréance. Ce qui conduit à accepter les mécréants, tisser des liens d’amitié avec eux et même leur prêter allégeance ; tout comme c’est pour eux un outil de propagande des pensées déviantes et des vues ambigües. Or une règle autour de laquelle il y a consensus, c’est que ce qui mène à l’interdit est lui-même interdit, alors qu’en est-il si le tout est interdit ?

Pour conclure, un point mérite que l’on y prête attention, c’est que le fait de ne pas reconnaître de fraternité entre les croyants et les mécréants ne signifie pas mépriser les droits qu’ont les mécréants qui sont sous notre protection, et il n’est pas convenable de ne pas les respecter. Leurs droits sont préservés, leur inviolabilité est protégée tant qu’ils sont sous la protection de l’Islam dû à l’impôt qu’ils payent (dhimmah), ou au contrat ou encore à l’asile. Et Allah est plus Savant.

Votre frère

Khâlid Ibn cAbd Allah Al-Muslih

03/01/1425 H


الاكثر مشاهدة

1. جماع الزوجة في الحمام ( عدد المشاهدات130349 )
6. مداعبة أرداف الزوجة ( عدد المشاهدات64746 )
7. حكم قراءة مواضيع جنسية ( عدد المشاهدات64683 )
11. حکم نزدیکی با همسر از راه مقعد؛ ( عدد المشاهدات56849 )
12. لذت جویی از باسن همسر؛ ( عدد المشاهدات55846 )
13. ما الفرق بين محرَّم ولا يجوز؟ ( عدد المشاهدات54739 )
14. الزواج من متحول جنسيًّا ( عدد المشاهدات51973 )
15. حكم استعمال الفكس للصائم ( عدد المشاهدات46291 )

مواد مقترحة

1078. Dire
1105. Dire:
2672. MasterCard
2729. Bulu Bangkai
3088. ZAKAT UTANG
3317. Aurat Wanita
3353. Edit foto
3374. Hukum Pijat
4108. هام
4112. شك
4118. صلاة
4119. فتوى
4121. ..
4129. مناسك
4135. البيع
4151. الصيام
4156. الصيام
4157. الطلاق
4243. توحید
4244. توحید
4284. خمس
4285. نمار
4287. Internet
4288. good deed
4332. جنیان
4342. زکات
4349. گناه
4352. Facesitting
4357. نيه
4361. qodYbxgt
4362. vN26j0Fc
4363. FM7iEqzm
4364. LmIMY3mq
4365. OFo58ypb
4366. 2ZVovpdo
4367. RgfNjume
4368. HKxH5d7a
4369. zGqETNzy
4370. nPf8aVTm
4382. set|set&set
4385. set|set&set
4388. set|set&set
4395. set|set&set
4400. set|set&set
4405. set|set&set
4410. set|set&set
4414. set|set&set
4424. set|set&set
4433. set|set&set
4442. 1
4443. '"()
4444. 1
4445. '"()
4446. 1
4447. '"()
4448. 1
4449. '"()
4450. 1
4451. '"()
4452. 1
4453. '"()
4454. 1
4455. '"()
4456. 1
4457. '"()
4458. 1
4459. '"()
4460. 1
4461. '"()
4472. )
4473. !(()&&!|*|*|
4475. )
4476. !(()&&!|*|*|
4479. )
4480. !(()&&!|*|*|
4482. )
4483. !(()&&!|*|*|
4486. )
4487. !(()&&!|*|*|
4489. )
4491. !(()&&!|*|*|
4493. )
4495. !(()&&!|*|*|
4497. )
4498. !(()&&!|*|*|
4501. )
4502. !(()&&!|*|*|
4504. )
4506. !(()&&!|*|*|
4632. '"
4633. '"
4634. '"
4635. '"
4636. '"
4637. '"
4638. '"
4639. '"
4640. '"
4641. '"
4644. Mr._9475
4647. Mr._9408
4650. Mr._9059
4653. Mr._9304
4656. Mr._9091
4659. Mr._9336
4662. Mr._9146
4665. Mr._9993
4668. Mr._9497
4671. Mr._9257
4672. 1'"
4673. @@68YkC
4674. JyI=
4676. 1'"
4677. @@9GTzF
4678. JyI=
4680. 1'"
4681. @@PbzTx
4682. JyI=
4684. 1'"
4685. @@fV7uq
4686. JyI=
4688. 1'"
4689. @@dTiw0
4690. JyI=
4692. 1'"
4693. @@BowAv
4694. JyI=
4696. 1'"
4697. @@CqQMr
4698. JyI=
4700. 1'"
4701. @@KafvQ
4702. JyI=
4704. 1'"
4705. @@UXxx1
4706. JyI=
4708. 1'"
4709. @@7c7Bx
4710. JyI=
4714. -1 OR 3*2
4718. -1 OR 3*2
4722. -1' OR 3*2
4726. -1' OR 3*2
4730. -1" OR 3*2
4741. -1 OR 3*2
4745. -1 OR 3*2
4749. -1' OR 3*2
4753. -1' OR 3*2
4757. -1" OR 3*2
4768. -1 OR 3*2
4772. -1 OR 3*2
4776. -1' OR 3*2
4780. -1' OR 3*2
4784. -1" OR 3*2
4795. -1 OR 3*2
4799. -1 OR 3*2
4803. -1' OR 3*2
4807. -1' OR 3*2
4811. -1" OR 3*2
4822. -1 OR 3*2
4826. -1 OR 3*2
4830. -1' OR 3*2
4834. -1' OR 3*2
4838. -1" OR 3*2
4850. -1 OR 3*2
4854. -1 OR 3*2
4860. -1' OR 3*2
4864. -1' OR 3*2
4868. -1" OR 3*2
4879. -1 OR 3*2
4883. -1 OR 3*2
4887. -1' OR 3*2
4891. -1' OR 3*2
4895. -1" OR 3*2
4906. -1 OR 3*2
4910. -1 OR 3*2
4914. -1' OR 3*2
4918. -1' OR 3*2
4922. -1" OR 3*2
4933. -1 OR 3*2
4937. -1 OR 3*2
4941. -1' OR 3*2
4945. -1' OR 3*2
4949. -1" OR 3*2
4960. -1 OR 3*2
4964. -1 OR 3*2
4968. -1' OR 3*2
4972. -1' OR 3*2
4976. -1" OR 3*2
4992. /etc/passwd
4998. invalid../../../../../../../../../../etc/passwd/././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././.
5022. /etc/passwd
5028. invalid../../../../../../../../../../etc/passwd/././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././.
5052. /etc/passwd
5058. invalid../../../../../../../../../../etc/passwd/././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././.
5082. /etc/passwd
5088. invalid../../../../../../../../../../etc/passwd/././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././.
5112. /etc/passwd
5118. invalid../../../../../../../../../../etc/passwd/././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././.
5142. /etc/passwd
5148. invalid../../../../../../../../../../etc/passwd/././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././.
5172. /etc/passwd
5178. invalid../../../../../../../../../../etc/passwd/././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././.
5202. /etc/passwd
5208. invalid../../../../../../../../../../etc/passwd/././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././.
5232. /etc/passwd
5238. invalid../../../../../../../../../../etc/passwd/././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././.
5262. /etc/passwd
5268. invalid../../../../../../../../../../etc/passwd/././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././././.
5286. Ifrad hijad
5292. الزواج
5301. سؤلين
5302. حديث
5303. الصلاة
5314. ميراث
5316. مطاعم
5317. حكم
5318. الأجرة
5326. سؤلين
5342. سؤال
5352. حلم
5367. خاص
5368. حكم
5370. الطلاق
5371. الطلاق
5387. مال
5390. الشباب
5391. عمره
5409. الرياض
5410. الطلاق
5411. الغسل
5412. حكم

مواد تم زيارتها

التعليقات


×

هل ترغب فعلا بحذف المواد التي تمت زيارتها ؟؟

نعم؛ حذف